settembre 2005

martedì, 27 settembre 2005   [link]
 

In distribuzione nelle librerie

Parola plurale
Sessantaquattro poeti italiani fra due secoli

A cura di Giancarlo Alfano, Alessandro Baldacci, Cecilia Bello Minciacchi, Andrea Cortellessa, Massimiliano Manganelli, Raffaella Scarpa, Fabio Zinelli, Paolo Zublena
Prezzo: euro 20,00 – Pagine: 1182 – ISBN: 88-87995-91-5

Da sempre la scrittura in versi è parte importante del nostro immaginario, ma da troppo tempo mancava una raccolta della produzione più recente che fosse estesa e, insieme, affidabile.
Negli ultimi trent’anni non sono mancate antologie autorevoli, ma hanno tralasciato le ultime generazioni di poeti; al contrario delle antologie “di tendenza”, che sono però programmatiche e talvolta settarie.

Troppo arduo, per un singolo, abbracciare il vastissimo raggio della produzione attuale.
Perciò questa antologia si propone all’insegna della pluralità: tanto degli autori, quanto di chi li seleziona.

Non più un umorale Minosse, ma un individuo partecipe di una comunità; portatore di una responsabilità singolare e collettiva.
Plurale come i lettori ai quali il libro s’indirizza.

Otto giovani critici (nati tra il 1966 e il 1973) si sono spartiti 64 autori, nati tra il 1945 e il 1975, firmando – oltre agli ampi “cappelli” a ciascun autore – otto diverse introduzioni dedicate a esaminare aspetti e problemi presentati da un corpus vario quanto vasto, che occupa più di mille pagine.

Il volume è aperto da un quadro storico e concluso da un’esaustiva bibliografia.

I curatori: Giancarlo Alfano (professore associato di Letteratura italiana presso la Seconda Università di Napoli), Alessandro Baldacci (dottore di ricerca in Letterature comparate presso le cattedre di Letterature comparate e Teoria e storia della traduzione letteraria all’Università di Cassino), Cecilia Bello Minciacchi (professore a contratto, insegna Critica letteraria italiana presso l’Università La Sapienza di Roma), Andrea Cortellessa (dottore di ricerca in Italianistica presso l’Università La Sapienza di Roma), Massimiliano Manganelli (insegnante e traduttore a Roma), Raffaella Scarpa (svolge attività di ricerca e didattica presso il Dipartimento di Scienze letterarie e filologiche a Torino), Fabio Zinelli (ricercatore in Filologia romanza presso l’Università per Stranieri di Siena) e Paolo Zublena (ricercatore di Linguistica italiana all’Università di Milano-Bicocca

 19 ottobre 2005, ore 18.00

presentazione dell’antologia in contemporanea nelle librerie Feltrinelli

a Genova, Padova, Bologna e Napoli : 

>> presentazFeltrinelliantologia  <<



Una nuova pagina (biobibliografica) di Massimo Sannelli: qui.


domenica, 18 settembre 2005   [link]

Il n.40 di “Exit”: poesia italiana contemporanea

 

In occasione dell’undicesima edizione del FIL – Festival Internazionale della Letteratura, a Montréal, Quebec, si terrà il 21 settembre (dalle 17 alle 19) presso il Cabaret des Terrasses Saint-Sulpice la presentazione del n.40 della rivista “Exit” (autunno 2005). Leggeranno: Francis Catalano, Stéphane Despatie, Marco Giovenale, Laura Pugno.
Questo numero offre una microantologia della poesia italiana recente e recentissima, sotto il titolo di 63-93 et au-delà (un clin d’oeil à la poésie italienne contemporaine):

“Placé sous le signe de l’échange, ce numéro nous emmène en Italie en nous faisant traverser quelques générations de poètes italiens. En tout, vingt-huit poètes, des noms prestigieux tels que Mario Luzi, Andrea Zanzotto et Valerio Magrelli, et des voix montantes comme Laura Pugno, Elisa Biagini et Marco Giovenale, nous donnent le pouls de la poésie qui s’écrit aujourd’hui en Italie. Les auteurs québécois qui se trouvent dans ce numéro 40 d’Exit, dont Claude Beausoleil, Hélène Monette et Yves Préfontaine, font partie de la vingtaine de poètes qui seront en traduction italienne cet automne dans un numéro spécial de la revue l’immaginazione consacré entièrement à la poésie québécoise. Ce numéro est donc né du désir de dresser des ponts, non seulement entre les générations, mais aussi entre les poésies du monde”. (Stéphane Despatie, direttore di “Exit”: www.exit-poesie.com)

 

Nei documenti pdf qui allegati: i comunicati della presentazione di “Exit” #40 (il 21 sett.) e delle letture di M.Giovenale e L.Pugno a Montréal (il 20 sett.)

[L’uscita della rivista è realizzata grazie al sostegno di varie istituzioni del Quebec: la Direzione degli affari internazionali del Ministero della Cultura e delle Comunicazioni, il Ministero delle relazioni internazionali, e l’Istituto italiano di cultura di Montréal]

 

segnalazioni anche su ItalianisticaOnLine e AbsolutePoetry


sabato, 17 settembre 2005   [link]

news

– Poesie da Shelter nel numero XXXII-XXXIII (2005) di «Semicerchio», ora in distribuzione: http://www.unisi.it/semicerchio/numeri/sc_31.htm

– È in uscita l’antologia Sossella 

– Un articolo-segnalazione a cura di Manila Benedetto in BooksBlog: http://www.booksblog.it/post/363/poeti-italiani-marco-giovenale

– Le Cinq ellipses tradotte da Ryoko Sekiguchi e uscite in «Action Poétique» n.177, sept.2004, sono leggibili qui [file pdf]

– Aggiornamenti in www.endoglosse.blogspot.com e www.differx.blogspot.com


domenica, 11 settembre 2005   [link]

F.I.L.  _  11e Festival international de littérature

 

Montréal _ Quebec

16-24 septembre 2005

http://www.festival-fil.qc.ca/


 

CLIN D’ŒIL À L’ITALIE

http://www.festival-fil.qc.ca/22.html

Une présentation de la revue Exit organisée avec le soutien de la Direction des affaires internationales du Ministère de la Culture  et des Communications, en concertation avec le Ministère des Relations internationales et l’Institut culturel italien de Montréal.

L’UNESCO, instance des Nations unies dédiée à la culture et à l’éducation, a proclamé Montréal la capitale mondiale du livre, du 23 avril 2005 au 22 avril 2006. Le temps d’une année, la métropole québécoise est donc le lieu privilégié de la promotion du livre et de la lecture.
En 2006, c’est la ville italienne de Turin, en association avec la ville de Rome, qui prendra le relais du titre de capitale mondiale du livre. À cette occasion, des écrivains québécois seront invités à se rendre en Italie. Dans un esprit de réciprocité et d’échanges, le FIL présente, dès cette année dans le cadre de sa onzième édition, une série de manifestations visant à souligner la publication par la revue Exit d’une anthologie de la poésie italienne contemporaine préparée par Francis Catalano avec la collaboration de Maria Teresa Carbone et de Marco Giovenale.

63-93 ET AU-DELÀ

Afin de souligner la parution de son quarantième numéro et, conjointement, le quarantième anniversaire de la publication de l’anthologie I Novissimi, la revue Exit est heureuse de lancer 63-93 et au-delà, une mini-anthologie de la poésie italienne contemporaine qui réunit plus de trente poètes. Il y a quarante ans cette année, en effet, paraissait I Novissimi, une anthologie qui marquait les débuts du mouvement de la dite néo-avant-garde et de l’expérimentation en Italie et qui allait créer une onde de choc dans les milieux culturels et littéraires de l’époque.

Exit_40Nous sommes fiers de présenter 63-93 et au-delà, anthologie unique, fruit d’un échange avec la revue l’immaginazione qui, à son tour, publiera un numéro spécial consacré à la poésie québécoise. Outre les textes des cinq poètes novissimes ayant présidé à la formation du célèbre Gruppo 63 (A. Giuliani, E. Sanguineti, E. Pagliarani, A. Porta et N. Balestrini), Exit a le privilège de publier les textes, dans la plupart des cas des inédits, de poètes de renommée internationale, dont M. Luzi, A. Zanzotto, A. Rosselli, J. Insana et V. Magrelli. On pourra aussi entendre quelques voix fortes du Gruppo 93 (en filiation avec le Gruppo 63) et d’autres, toutes désireuses de se réapproprier la tradition de façon originales regroupées dans la section « Nouvelles écritures », et qui représentent les dernières tendances d’une génération montante de poètes.Dans ce même esprit d’échange et d’amitié, nous avons invité les poètes italiens Laura Pugno et Marco Giovenale à venir célébrer avec nous le lancement de ce numéro spécial de la revue Exit dans le cadre du Festival international de la littérature (FIL).

Buona lettura !

Stéphane Despatie et Francis Catalano
Revue Exit

Lauro Pugno est née à Rome en 1970. Elle a été rédactrice durant plusieurs années pour des maisons d’édition, des revues et des sites Internet, surtout en cinéma. Elle a traduit de l’anglais et du français vers l’italien plus d’une dizaine d’essais et de romans, et a enseigné la traduction à l’Université La Sapienza de Rome. Elle a fait paraître un recueil de poèmes, Tennis, paru en 2001 et un recueil de nouvelles, Sleepwalking, en 2002.Marco Giovenale est né à Rome en 1969, et y vit toujours. Il a publié des poèmes dans de nombreux collectifs ainsi que dans différentes revues, dont l’immaginazione, Nuovi Argomenti, Accattone, Action poétique, etc. Il a fait paraître une séquence de poèmes intitulée Curvature (2002) et le recueil Il Segno meno (2003). Son plus récent recueil est intitulé Altre ombre (2004). Il a collaboré à la mise sur pied de l’anthologie 63-93 et au-delà présentée dans ce numéro d’Exit.


LES RENDEZ-VOUS POÉTIQUES ITALIENS DE LA REVUE EXITRencontre avec Marco Giovenale et Laura Pugno
Animateur : Francis Catalano
Le mardi 20 septembre,
à 14 h
Café Paparazzi
Entrée libre

Lectures de Marco Giovenale et Laura Pugno
Le mardi 20 septembre,
à 20 h
Maison des écrivains
Entrée libre
Lancement de 63-93 et au-delà
suivi de lectures de Marco Giovenale, Laura Pugno, Francis Catalano et Stéphane Despatie.
Le mercredi 21 septembre,
de 17 h à 19 h
Cabaret des Terrasses Saint-Sulpice
Entrée libre


files pdf:  

Letture e incontri del 20 settembre

Presentazione di Exit n.40 e letture



sabato, 10 settembre 2005   [link]

una parentesi:

Alcuni personaggi e siti di correttezza a affidabilità ormai storicizzabili millantano la mia presenza presso una loro imprecisata lettura, a Roma, a fine settembre. Logicamente di questa cosa non ho avuto da loro alcun cenno; ho dovuto scoprire per caso che si faceva il mio nome in un programma ormai diffuso. Altrettanto logicamente, la notizia è falsa, dato che per mia e loro fortuna dal 19 settembre sarò per un piccolo periodo fuori da questo paese, precisamente al F.I.L. di Montréal, dove sono previste alcune letture di poesie, e la presentazione del n.40 della rivista «Exit» dedicato alla poesia italiana.




Novecento/ricerca

   

di fatto, migliaia di persone in varie parti del mondo (…non solo nei siti USA linkati qui a sinistra nella pagina…) fanno scrittura di ricerca: radicalmente fondata sul Novecento, e sulle avanguardie

il Novecento è/ha tradizione, e la trasmette. in codici che sono accolti. producono conoscenza.

funzionano. tutto ciò – non è superfluo né banale rammentarlo – ridicolizza l’Ottocento e il postermetismo che brancolano a sciami in area italofona.

il cuneiforme non ha parlanti, o scriventi. ci sono lingue estinte. la poesia visiva (per un primo esempio) è invece non solo vivissima come poesia, in riviste e siti e libri, ma genera e varia flussi di senso in ogni strumento elettronico che nasce, e in ogni luogo e logo o strumento della città postmoderna.

mentre molto neolirismo ossia paleolirismo italiano non può parlare alla città [civitas] perché non ne vive linguisticamente e materialmente i fatti, la realtà.

[da rileggere: l’opposizione tra “fatti” e “Verità”, in Burroughs: in La febbre del ragno rosso].

non parlando alla città, i paleolirici non troverebbero ascolto, giustamente: non sarebbe accordata loro alcuna fiducia, non potrebbero pubblicare, in un qualsiasi paese civile. (infatti pubblicano in italia).

la realtà delle strutture e deformazioni urbanistiche, lavorative, tecnologiche, personali e collettive, non entra nel linguaggio sovraccarico della Verità. (preformata, pre-parlata).

la Verità ha agenti: mediatori tediatori, dilettanti professionisti a ogni angolo. comunicano. deviano lo sguardo dalla materia.

congegnano e diffondono iterazioni di tratti ‘stabilizzati’ di storia (letteraria, artistica, musicale, sociale). per inciso, clonano da sette secoli lo stesso lessico. non cambia(no). sono vincenti e strutturano i campi entro cui i loro generati li storicizzeranno.

al contrario, è altissima e non ha esito o riparo l’inermità politica e umana di chi non aggira l’enigma del testo, e gli è fedele. è il verbevoir di Emilio Villa. (ferito, riferito)

durano gli anni di esilio, di separazione. poi anche una sconfitta o un non ascolto, così come il processo di ricaduta verso il nero, hanno parola: precisamente grazie al Novecento, alla ricerca. che in definitiva diventa (perché è) parola di tutti.

  

postato anche in http://ex04.splinder.com


  [link]

Sono in rete alcune prime indicazioni per

RomaPoesia [ospitate anche da Lietocolle]

[il programma è in via di definizione]

 romapoe


– su http://endoglosse.blogspot.com un esperimento di file audio (low-fidelity, sia chiaro)

– continua il processo di autoclonazione di slow-forward: su http://slow-forward.blogspot.com inseriti materiali di gennaio, febbraio e marzo 2004

 

 


domenica, 04 settembre 2005   [link]

Marina Pizzi, una pagina su

Marco Giovenale, Altre ombre, La camera verde, Roma 2004

la morte del nome ma non del significato originale memore ancora , quasi in spia di serbatoio vuoto ma che, per attenzione, volga il motore al movimento, brivido di nervi appena in morte. il disastro è avvenuto, avvenne, ma la mente è corpo ancora superstite, sa la comunione del turista-cittadino senza agenzia né frotte protettive e aggressive. la poesia è sottrazione, virile al femminile e femminile al virile (in sinonimo di energia umana) ammanco vivo alla valenza dell’acrobata alto e basso tra le rovine non ricostruibili in nessuno, veramente nessuno, altrove più comprensibile e benevolo. “Dopo: la rena è il mare che si è seccato” verso che testualmente proviene da un “mosaico” addirittura ente di “una chiesa”: dilavata da ogni agente questa sorte relegata nell’unica mansione bastante: non agire ma comporsi di-da-in, azione in parola di agnizione a breccia di una finitudine ossessa alla mutezza; la cripta del mondo fu aperta all’ecumene dell’orizzonte e dell’acqua e della terra e perfino del cielo, ma non preservò la retta della giustizia, del sorriso al chiarore, del buon possibile cerchio. Si legga, colpo nel petto, la poesia di pagina 19 di questo libretto-velame di salme cortesissime, classiche al pensiero del rovo che duole e non sanguina.  il risucchio del pozzo è già stato da tempo, ma “Altre ombre” stanno, questo librino arriso sta, a granaio del vento in risorsa e, forse, genitore nonostante… “i bambini della famiglia/ridono dei nostri/nodi nel patio per/fortuna fa buio./   .scade la nenia, la nenia del lamento ma non la spada del cipresso (poetico e filosofico) che sa e può ancora rappresentarla vivente, vissuta, già stata, morente.

  

settembre 2005

versione pdf


  [link]

alcune delle riviste recentemente segnalate nella colonna a sinistra:

http://fascicle.com/ fascicle
http://www.wordforword.info/vol7/ word for / word
http://www.octopusmagazine.com OctopusMagazine
http://www.conjunctions.com/home.htm Conjunctions
http://www.drunkenboat.com/ Drunkenboat
http://www.milkmag.org/index1.htm Milk
http://webdelsol.com/5_trope/  5_trope
http://people2.clarityconnect.com/webpages6/ronhenry/aught.htm Aught
http://www.bigbridge.org/ Big Bridge
http://www.blazevox.org/index.htm BlazeVox
http://www.studiocleo.com/cauldron/ Cauldron
http://www.shampoopoetry.com/ Shampoo
http://www.slope.org/ Slope
http://www.spidertangle.net/home.html Spidertangle
http://www.szirine.com/ Szirine
http://www.typomag.com/ Typo
http://unpleasanteventschedule.com/index.html Unpleasant Events Schedule
http://www.litvert.com/ VeRT


  [link]

Stéphane Despatie, presentazione del n.40 di «Exit»: qui.


  [link]

Prime notizie di RomaPoesia 2005: qui


Oggi su NazioneIndiana due nuovi post inseriti da Andrea Inglese: Nicolas Bourriaud, Postproduzione (a cura di Alessandro Broggi) e Mark Strand, Traduzione (a cura di Damiano Abeni).


  [link]

Ritrovo e riporto da rete un’annotazione del 2004, su Bilico, di A.Inglese (in http://www.internetbookshop.it/ser/serdsp.asp?shop=1&c=WPN437K6AWBHL): Uno dei meriti di Andrea Inglese – da ascrivere già alla precedente raccolta, Inventari (Ed. Zona) – è quello di lavorare sul registro lirico e su quello antilirico contemporaneamente, mettendo i due toni non in cortocircuito o conflitto, bensì dimostrandoli implicati, legati. Il loro è un serrarsi a scacchiera. Come nella realtà – ma non con neorealismo. Bilico è tra i testi più coesi di una recente stagione poetica, che ha in Inglese uno degli autori più interessanti.


  [link]

Segnalo in particolare, in questo numero 3 di “Poesia da fare” (http://www.cepollaro.it/poesiaitaliana/rivista/pf003.pdf) il breve e puntualissimo saggio di Biagio Cepollaro su Linee, di Florinda Fusco. Le riflessioni critiche sul senso enigmatico della disposizione paratattica sono decisamente esatte: quella di Fusco non è pura giustapposizione di schegge irrelate/aleatorie: anzi nel laboratorio di frasi lineari del testo si genera continuamente e si avvia (quasi per incipit e “partenze che si moltiplicano in orizzontale”) un senso umbratile dichiarativo che non è arida gestione di cut-up né riferimento a un senso lirico o antilirico ‘già dato’, prestabilito.