Archivio mensile:Ottobre 2008

” VISIONS OF WARHOL ” (by MEKAS, MENKEN&MAAS)

DVD “VISIONS OF WARHOL” (24,00)

*AWARD PRESENTATION TO ANDY WARHOL (1963), 12′
avec Gerard Malanga, Baby Jane Holzer, Ivy Nicholson, Gregory Markopoulos
by WILLARD MAAS

*ANDY WARHOL’S SILVER FLOTATIONS (1964), 4′
by JONAS MEKAS

*ANTHROPOLOGICAL SKETCHES: FRIENDSHIPS AND INTERSECTIONS
SCENES FROM THE LIFE OF ANDY WARHOL (1963-90) , 35′
avec Allen Ginsberg, Peter Orlovsky, Tuli Kupferberg, Ed Sanders, George Maciunas,
Barbara Rubin, John Lennon, Yoko Ono, Mick Jagger
by MARIE MENKEN

*ANDY WARHOL (1965), 18′

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Des scènes de la vie d’Andy Warhol, vues par trois cinéastes, pionniers de l’avant-garde et amis proches de l’artiste pop.
Jonas Mekas, la force irrépressible derrière la promotion et la conservation du film expérimental, est également connu pour ses rapides journaux filmés. Dans Award Presentation, Warhol reçoit le prix Film Culture du cinéma indépendant. Ses Scenes from the Life enregistrent non seulement Andy Warhol, mais aussi l’excitation sociale et culturelle qui tourbillonnait autour de lui, palpitant aux rythmes hypnotiques du Velvet Underground.
Willard Maas était le mari de la cinéaste, peintre et actrice Marie Menken.Ensemble, ils étaient, pour Warhol, « les derniers grands bohémiens. »
Leurs films ont en commun une légèreté lyrique et un amour pour des rythmes visuels forts.

Ce titre est à présent disponible en format DVD (PAL) à l’adresse suivante :

RE:VOIR Vidéo
41, rue du Faubourg St Martin
75010 Paris – France
(entrée sous le porche par le 0, rue Gustave Goublier ! Métro: Strasbourg St Denis)

Ou bien:

www.re-voir.com

Discorso pronunciato al III Congresso in difesa della Scuola nazionale a Roma l’11 febbraio 1950

Facciamo l’ipotesi, così astrattamente, che ci sia un partito al potere, un partito dominante, il quale però formalmente vuole rispettare la Costituzione, non la vuole violare in sostanza. Non vuol fare la marcia su Roma e trasformare l’aula in alloggiamento per i manipoli; ma vuol istituire, senza parere, una larvata  dittatura. Allora, che cosa fare per impadronirsi delle scuole e per trasformare le scuole di Stato in scuole di partito?

Si accorge che le scuole di Stato hanno il difetto di essere imparziali.

C’è una certa resistenza; in quelle scuole c’è sempre, perfino sotto il fascismo c’è stata. Allora, il partito dominante segue un’altra strada (è tutta un’ipotesi teorica, intendiamoci). Comincia a trascurare le scuole pubbliche, a screditarle, ad impoverirle. Lascia che si anemizzino e comincia a favorire le scuole  private. Non tutte le scuole private. Le scuole del suo partito, di quel partito. Ed allora tutte le cure cominciano ad andare a queste scuole private. Cure di denaro e di privilegi. Si comincia persino a consigliare i ragazzi ad andare a queste scuole, perché in fondo sono migliori si dice di quelle di Stato. E magari si danno dei premi, come ora vi dirò, o si propone di dare dei premi a quei cittadini che saranno disposti a mandare i loro figlioli invece che alle scuole pubbliche alle scuole private. A “quelle” scuole private.

Gli esami sono più facili, si studia meno e si riesce meglio.

Così la scuola privata diventa una scuola privilegiata.

Il partito dominante, non potendo trasformare apertamente le scuole di Stato in scuole di partito, manda in malora le scuole di Stato per dare la prevalenza alle sue scuole private. Attenzione, amici, in questo convegno questo è il punto che bisogna discutere.

Attenzione, questa è la ricetta.

Bisogna tener d’occhio i cuochi di questa bassa cucina. L’operazione si fa in tre modi: ve l’ho già detto: rovinare le scuole di Stato. Lasciare che vadano in  malora. Impoverire i loro bilanci. Ignorare i loro bisogni. Attenuare la sorveglianza e il controllo sulle scuole private. Non controllarne la serietà. Lasciare che vi insegnino insegnanti che non hanno i titoli minimi per insegnare. Lasciare che gli esami siano burlette. Dare alle scuole private denaro pubblico. Questo è il punto. Dare alle scuole private denaro pubblico

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Piero Calamandrei

I testi di Paola Febbraro: venerdì da Empiria

Roma, venerdì 24 ottobre – ore 18:30 – libreria Empiria

presentazione del libro

TURBOLENZE IN ARIA CHIARA

di Paola Febbraro

intervengono
Brunella Antomarini, Daniela Attanasio, Carlo Bordini, Marco Caporali,
Fabio Ciriachi, Cristina Delogu, Paolo Morelli, Franca Rovigatti

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Edizioni  Empirìa
via Baccina 79 (via dei Serpenti)
tel.0669940850  fax 0645426832

www.empiria.com

Modernisme et illisibilité

ENS LSH, 15, Parvis René-Descartes _ 69 007 LYON _ Métro Debourg

Contacts : Noura Wedell

Modernisme et illisibilité, Colloque international, 23-25 octobre 2008.

L’objet du colloque international « Modernisme et illisibilité » sera d’interroger un mouvement littéraire majeur, le modernisme anglo-saxon, du point de vue d’un de ses effets aussi évidents qu’habituellement passés sous silence : l’illisible. Le modernisme sera considéré à partir de certains de ses textes réputés et reconnus pour leur résistance. Un grand nombre de textes modernistes que l’on pourrait qualifier de « limite » se trouvent relever de facto de la catégorie de l’illisible. Ces textes que l’histoire littéraire a retenus et canonisés posent, pour des raisons différentes, selon des modalités et des procédures singulières qui méritent d’être décrites et étudiées, des problèmes de lecture, problèmes de déchiffrage aussi bien que problèmes de compréhension, qui diffèrent et déplacent la question de l’interprétation. Du Finnegans Wake (James Joyce) au The Making of Americans (Gertrude Stein), en passant par The Waves (Virginia Woolf), certains Cantos (Ezra Pound), ou encore Molloy de Samuel Beckett, de nombreux textes canoniques du modernisme résistent à la lecture, se dérobent à la possibilité d’être articulés et commentés. Le paradoxe qui veut que nombre des plus grands textes modernistes soient à la limite de l’illisibilité mérite d’être exploré et déconstruit ; la question de la relation entre modernisme et illisibilité vaut d’être posée car elle n’est ni anecdotique ni indifférente. Plus qu’une dérive esthétisante, l’illisible peut être envisagé comme le fait et l’effet de poétiques plurielles, l’indice d’une mise en crise du sens, la signature d’un mouvement littéraire dont l’unité fait par ailleurs problème. Les textes à la limite de la lisibilité se rencontrent à toutes les époques et dans toutes les littératures, mais devant l’intensité et l’insistance de l’illisibilité moderniste, on pourra se demander dans quelle mesure celle-ci se constitue comme moment historique à part entière dans la littérature anglo-saxonne. On n’exclura pas pour autant une lecture critique de cette dernière hypothèse, qui en même temps qu’elle participe à l’élaboration du grand récit moderniste, entérine de fait une conception polémique de l’histoire littéraire comme succession de ruptures repérables à l’émergence de paradigmes radicalement nouveaux, tel, précisément, celui de l’illisible, à travers lequel les écritures modernistes interrogent la littérarité sous l’angle de la littéralité et mettent la littérature comme pratique aussi bien que comme institution historique au défi de s’expliquer, de rendre compte de ses procès et de ses croyances tacites et implicites, à déconstruire ce qu’écrire et lire veulent dire.

A travers l’illisible, les écritures modernistes interrogent la littérarité sous l’angle de la littéralité et mettent la littérature comme pratique aussi bien que comme institution historique au défi de s’expliquer, de rendre compte de ses procès et de ses croyances tacites et implicites, à déconstruire ce qu’écrire et lire veulent dire.

Qu’en est-il de la déroute de la signification, de la mise en échec du vouloir-dire qu’ils mettent en œuvre ? La question du sens, de la signification et de son autre, se profile derrière l’obstacle fait à la lecture. Face au mur littéral, à l’avalanche référentielle, le lecteur est mis en échec. Sa compétence « naturelle » est mise à mal. Ces procédures complexes de mise en échec de la lecture méritent d’être analysées. Babélisée, défigurée, épuisée, la langue est mise à rude épreuve. On pourra interroger la nature des transgressions dont ces textes modernistes procèdent, se demander à quoi exactement ils renoncent, à quoi au juste ils s’autorisent. L’illisible, qui n’est pas un mais multiple et singulier, pourra être utilement distingué de l’obscur, de l’énigmatique, voire de l’hermétique. On pourra interroger la dimension d’impossibilité que de telles productions littéraires impliquent du point de vue de l’écriture, examiner l’illisible du point de vue du scriptible. La question de l’ennui ou la jouissance qu’elles procurent pourra être légitimement examinée.


Itinerario nel meraviglioso. Poesie e prose di Angelo Maria Ripellino

Roma, 20 ottobre 2008, h. 21:00
Auditorium dell’Ara Pacis

 

L’associazione culturale Verso-Zaum, in collaborazione con Il Comune di Roma e L’Università di Roma La Sapienza, CentroTeatro Ateneo, ha organizzato una serata-evento dedicata a Angelo Maria Ripellino all’Auditorium dell’Ara Pacis, con letture di poesie, proiezioni e momenti teatrali.

Una serata dedicata a Angelo Maria Ripellino, di cui il 21 aprile 2008 è stato il trentesimo anniversario della morte. Leggendario professore alla Sapienza di filologia slava, cronista teatrale, regista, poeta, Ripellino fu accolto in giovinezza dalla città di Roma, dove visse gran parte della propria vita, e dove trovò terreno ideale e fecondo per inseguire i propri progetti e sogni: non per caso immagini della Capitale ricorrono in quasi tutte le sue raccolte poetiche.

Poesie, proiezioni e momenti teatrali sono tratti dallo spettacolo diretto da Laura Fo, intitolato Siate buffi, siate buffi, buonanotte già presentato al Teatro Studio Eleonora Duse per l’Accademia d’arte Drammatica Silvio D’Amico.

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ingresso libero fino ad esaurimento posti

Informazioni: 060608