Archivio mensile:Giugno 2009

a paypal christmas carol _ || # o beloved nude nurses

fell asleep in mythology _ they were agents of evil _ they were one scorpion _ under a tree _ say under staying under _ for a while he could put his head together _ the snakes licked his ears _ a gummy lady _ a whole pretzel film _ nuts while driving _ he suddenly started attacking the priest _ the priest was eight priests _ plus a bishop dressed in red _ with three wooden wheels _ chew the gags o clap hands _ o here’s the murderer _ if he’s tall _ holy porkpearl _ aka rectilinear offenbach yellow markers _ against the chair in our room where i nurse the baby _ hooking up the signs _ if they feel threatened they bite _ it’s just their way of saying they like you _ the darkness walkqqq out the door _ a chorus of satyrs _ door was still _ was the doors the stingy scubaion _ the black light shone _ its negative wrap _ choose the type of alert you would like _ you sat on the marble surface of the nuclear establishment _ dead skin off your own _ thy old relic of mortality _ (pop duet) _ the test results reveal the genetic basis of callas’ powers _ euripides _ work on your masochism _ the new cauliflower couscous 4:00 p.m. milk will enhance yer out-of-fashion roddie _ euripides _ (twice)

Alain Arias-Misson : Les cages du désir

nlariasmisson

vernissage jeudi 25 juin 2009 à partir de 18H

Exposition jusqu’au 31 juillet 2009

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Commissaire Enrico Pedrini

Alain Arias-Misson, né à Bruxelles en 1936, a été élevé à New York où il a étudié. Il sera ensuite en Espagne, Belgique puis encore aux États Unis. Il vit à présent entre Paris et Venise et on dit qu’il laisse partout des traces phosphorescentes qui s’évanouissent après son passage ; personne ne sachant très bien ni d’où il vient ni où il va. Il aime se présenter comme un simple  “Visiteur”.

Dans les années 60 il faisait partie de quelques innovateurs de par le monde à promouvoir la poésie visuelle, qui se mettait en antithèse à la poésie concrète, afin d’obtenir sur la toile une convergence entre l’image, le son et le mot, dans les objets et les images reproduits.

Nomade de l’écriture et écrivain sur tout, il publie cinq romans aux États Unis dans le contexte du New American Writing, avec ses amis écrivains Walter Abish et Joe McElroy. Il participe ensuite en Espagne à la création du mouvement poétique expérimental à coté de Jean Brossa et des musiciens Zan Hidalgo et Marchetti. Avec ses Public Poems, il est proche d’Ignacio Gomez de Liano, le grand philosophe espagnol et d’Herminio Molero, le pop-star poète. Ensuite, en Italie, il entre de plein pied dans l’avant-garde héroïque et guerrière de l’écriture visuelle avec Sarenco, Miccini, Julien Blaine, Jean-François Bory ; en Amérique du Sud il est en contact avec Padin et Vigo ; en Belgique avec Paul De Vree ; en Allemagne avec Carlfriedrich Claus ; en France avec Marc Dachy ; au Japon avec Seiichi Niikuni et Kitasono Katue ; aux États Unis il fréquente, à la Galerie Emily Harvey, les artistes du mouvement Fluxus.

Bien que le principe d’une poétique visuelle fondée sur le langage ait constitué la matrice de son œuvre, il en a surpassé les limites pendant ces vingt dernières années, avec, par exemple, la création d’un Observatoire Chamanique dans un jardin de sculptures du XVIIIème siècle à la Fondation Villa Buttafava à Gallarate et la construction d’installations nouvelles ayant pour thème la voiture Poémobile).

Parmi ses expositions collectives les plus importantes et récentes, rappelons la Biennale de Lodz, en Pologne (2004) ; la Biennale de Lyon, Poésure et Peintrie exposée au Musée de Marseille ; la Biennale de Sao Paolo ; la Biennale de Venise (2005) (un événement collatéral soutenu par le Musée des Artistes, polonais et le White Box de New Art), OPEN (l’exposition internationale d’installations et sculptures qui se tint en plein air au Lido de Venise (sept. 2004).

Ses travaux sont présents dans plusieurs musées, comme par exemple le Getty Museum en Californie, le Musée de Bolzano, le Musée Statal de Amsterdam, le Musée de Stuttgart et dans beaucoup de collections importantes privées.

Rappelons, parmi ses exposition personnelles les plus récentes: celle qui c’est tenue chez la Emily Harvey Gallery de New York et de Venise (2001-2002), chez la galerie Lara Vincy, Paris (2003), à la galerie Depardieu à Nice (2006) et à Naples à la galerie EntropyArt Naples (mai 2009), galerie Depardieu, Nice,  galerie Lara Vincy, Paris, octobre et groupe d’ensemble au Musée Reina Sofia, Madrid, fin octobre.

« L’exposition présentée à la galerie Depardieu, intitulée les Cages du Désir consiste en une méditation imaginaire sur les rapports des sexes. Dans une boîte de plexiglas il y a une cage primitive faite par les indigènes du Panama, tissée avec de la matière végétale de la forêt vierge ; a l’intérieur de la cage, il y a une deuxième boîte en plexiglas ; dans cette boîte il y a des figures chamaniques mâles et femelles aborigènes très anciennes, aux sexes prononcés, transparentes, sur des chaises ou des lits en de positions différentes qui expriment leurs (nos) relations à la sexualité. Ils agissent sur un arrière-fonds de texte qui caractérise ces relations. La beauté et la sauvagerie de la végétation tropicale de la cage et la pureté conceptuelle des figures transparentes sur fonds textuel lapidaire donnent une métaphore de la tension de ces relations entre pulsions primitives et riches du sexe et logique ou algèbre à laquelle les relations peuvent se réduire ». Alain Arias-Misson

Galerie Depardieu

64 boulevard Risso face au MAMAC

06300 Nice – France – Tél. +33 0497 12 12 99

galerie.depardieu@orange.frhttp:/www.galerie-depardieu.com

Tramway : arrêt Garibaldi – parking du Théâtre National de Nice

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per il resto c’è assenza di musica, l’orchestra d’archi sembra seguirlo, le gelava il cuore, era la sua migliore amica, la prova andò perfettamente come sempre in riva al mare, asciugando il vino con uno straccetto, andandosene via di corsa, prese un appuntamento per il giorno seguente, invece di correre ad abbracciare il redivivo, e provò di nuovo quella strana sensazione, l’ascensore uscì di corsa e si allontanò, il carrello invece avanzò ulteriormente, si sporse dalla gabbia, dalla miniera, da tutte quelle cose che aveva sempre amato, vendute al belgio solo come triste panacea, o per qualsiasi altra emozione, o per quella precisa emozione,

la poesia è essenzialmente questo, emozione, si disse, poi prende lo zucchero, si riveste e se ne andò per amore, solo per questa libertà, credendo che il figlio glissasse,

crede all’appuntamento, vedi come siamo fatti, basta poco per

ritrovare la strada smarrita, tutta una vallata coltivata a sperma, nei pressi della palude compra due orecchie, l’aggiornamento di acrobat, belinda e mino se ne andarono di corsa nella cabina, e andavamo a immergerci nella folla, con

l’avvento strepitoso del rock’n’roll, lo zio prete capì che la mamma mangiava tutti quegli anatroccoli, non esistevano frontiere né invasori, solo buste di plastica sigillate da cui si potevano estrarre le patate, risultava completamente assente ogni istinto predatorio, il grillotalpa manca da qualche giorno e il procione si dà un sacco di arie, a letto pensa a lei e si alza, porta la bottiglia giù nel cassonetto, credetemi, l’avrei seguito di corsa se solo mi fossi resa conto che poteva avere effetto in francia, sul ritmo di un rubinetto che gocciola, ma tu nascondi queste risposte e rivolgi il tuo sguardo

a dio, alle icone dei monaci, all’evasione fiscale,

prende piede, prende paura, prende il sole, prende il nobel per l’economia, non prende, non ha presa, ha una buona presa, l’aggressore viene bloccato, l’aggressione continua, si può continuare, continua tu, sai farlo, puoi farlo

26 giugno: Locandine d’artista + Stéphane Bouquet + Florinda Fusco

Venerdì 26 giugno, dalle ore 20:30

presso il centro culturale La camera verde
(Roma, via G. Miani 20)

Locandine d’artista

immagini e/o testi di

Francesco Forlani, Andrea Inglese, Florinda Fusco, Michele Zaffarano, Renata Morresi, Marco Giovenale, Jennifer Scappettone, Alfredo Anzellini,
Zeno Tentella, Antonio Semerano, Giuliana Laportella, Giuliano Mesa, Manuela Sica, Giacomo Leopardi, Pierre Martin

inoltre:

presentazione del libro

Dizionario di quest’uomo – Dictionnaire de cet homme

di Stéphane Bouquet

(La camera verde, collana Calliope)

introduzione e traduzione italiana di Andrea Inglese

e:

segnalazione dell’uscita (+ breve lettura) del nuovo libro di

Florinda Fusco, Tre opere

(Oèdipus, 2009, collana “i megamicri”)

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La camera verde è in Via Giovanni Miani 20 – 00154 Roma

(quartiere Ostiense)

tel. 340-5263877

e-mail: lacameraverde [at] tiscali [dot] it

pagina (provvisoria):  http://www.lacameraverde.com/

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but others as well.

thrilled to see you happy again, duchess of carter presidency nuclear sugarcube.

i composed a beautiful song for u: “gonna gum wanna lizzyville gonna chew”.

you won’t never ever have troubles with kurdish people.

look there’s a mime, the teacher bee.

winter soon falls.

all the leaves on the trees get sad and play chopin’s “la poupée de sucre”.

o wireless teenage paranormal sorrowful roach.

the roach in the throat.

no matter how hard i try.

the roach wins / won.

I criminali vogliono (questa) invisibilità. E’ INDISPENSABILE OPPORSI _ [2]

Una norma (1) del “Pacchetto Sicurezza” ancora fermo al Senato per la sua approvazione definitiva rischia di negare il diritto all’esistenza per migliaia di bambini migranti in Italia.
Siamo estremamente preoccupati per alcune violazioni dei diritti dei minori che si produrranno se il testo non venisse cambiato.
Una delle conseguenze più gravi, frutto dell’introduzione dell’obbligo di presentare il titolo di soggiorno per gli atti di stato civile, è la concreta impossibilità della registrazione all’anagrafe dei figli dei migranti irregolari, ovvero privi di permesso di soggiorno.

In Italia questi bambini non potranno avere un nome e una cittadinanza, diventeranno invisibili, privi di qualsiasi documento che attesti la loro identità e quindi senza diritti, senza la possibilità di andare a scuola e particolarmente vulnerabili ad abusi, sfruttamento, tratta di esseri umani e a diventare vittime della criminalità organizzata.

Per i bambini nati in ospedale si potranno aprire procedimenti per la dichiarazione dello stato d’abbandono del neonato poiché i genitori sono impossibilitati a riconoscerlo. Questi bambini potranno essere separati dai loro genitori, in violazione del diritto fondamentale di ogni minore a crescere nella propria famiglia ed è prevedibile che aumentino i casi di parti in ambienti non sicuri dal punto di vista sanitario, con gravi rischi per la salute delle madri e dei bambini.
Questo è in palese contrasto con la Convenzione ONU dei Diritti dell’Infanzia(2) del 1989, resa esecutiva in Italia nel 1991, e con la nostra Costituzione che proteggono l’infanzia e la maternità.

Per questo chiediamo con forza al Parlamento di modificare il testo in discussione in modo tale da ristabilire l’aderenza delle nostre leggi ai principi internazionali e della nostra Costituzione.

Nessun bambino in Italia deve diventare invisibile!

FIRMA QUESTO APPELLO

* note

(1) La norma del DDL 733-B contenuta nell’art. 45 (1 f) che modifica l’articolo 6 comma 2 del Testo unico sull’immigrazione approvato con decreto legislativo 286/1998.
(2) In particolare la Convenzione (articoli 7 e 8) riconosce a ogni minore, senza alcuna discriminazione (cioè indipendentemente dalla nazionalità e dalla regolarità del soggiorno del genitore), il diritto di essere “registrato immediatamente al momento della sua nascita”, il diritto “ad un nome, ad acquisire una cittadinanza e, nella misura del possibile, a conoscere i suoi genitori ed a essere allevato da essi”, nonché il diritto “a preservare la propria identità, ivi compresa la sua nazionalità, il suo nome e le sue relazioni familiari”.