Archivi categoria: fotografia
la brigata che immaginava “litaglia – semestrale del mattino”
una cartolina per pari&dispari / giulio bizzarri. 1972
frammento: enrico ghezzi su alberto grifi / video: “da alberto grifi a blob”, di maraboshi
daccapo, e per l’ennesima volta (come per CB), una affinità: quello che enrico ghezzi dice su Alberto Grifi e il suo cinema è quello che si potrebbe dire su un certo tipo di scrittura di ricerca – qui in rapporto con un versante politico (e, così, con l’evitamento di una sua assertività).
operare come un occhio fuori dal vedere tecnico della cinepresa, della telecamera, della bellezza supposta dell’immagine
il video intero di Maraboshi (Cesare Maccioni) è qui:
altro, molto altro, su http://www.albertogrifi.com/
e in particolare il video di Maraboshi è qui:
http://www.albertogrifi.com/122?current_page_1820=4
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oggi, 21 marzo, a roma, alla galleria d’arte moderna: “primum vivere”, ritratti fotografici di poeti, di enzo eric toccaceli
21 marzo, roma, galleria d’arte moderna: “primum vivere”, ritratti di poeti, di enzo eric toccaceli
“resurrection”: da oggi, a lodi, una mostra collettiva
jean-marie gleize, “jusq’à ce que l’écran se vide” (zoème, 2022)
https://zoeme.net/jusqua-ce-que-lecran-se-vide/
Jusqu’à ce que l’écran se vide est un travail plastique réalisé par Jean-Marie Gleize à partir de cibles de tir et de polaroids. Cette publication fait suite à une exposition qui s’est tenue dans la galerie de Zoème en 2021, et qui avait pour titre Les cibles. À l’occasion de cette exposition, Jean-Marie Gleize est revenu sur la genèse de ce projet : « C’est ainsi que ça commence. Dans un jardin à Aix. Il tirait sur des cibles. Il avait cloué ces cibles sur la branche d’un arbre. Je l’ai regardé viser, tirer. C’était comme un spasme nerveux, involontaire, une décharge sans raison, contre rien. J’ai ramassé ce qui restait, des traces au sol comme des feuilles tachées, trouées. Je les ai déchirées, les ai maculées d’encre rouge, et puis je les ai perdues. C’était au tout début des années 90. Et vers la même époque, aux États-Unis, en Californie et dans le Vermont, j’ai pratiqué intensément (de façon quasi pulsionnelle) la captation mécanique du réel, minimale, brutale, d’un réel simplement là : image sans contenu (comme les cibles), sans négatif, instantané unique sans copie ni retouche possibles, celle du Polaroïd. » Jusqu’à ce que l’écran se vide se compose de 30 polaroids, reproduites à l’échelle 1:1, et la reproduction de 14 cibles. Au centre, un poème inédit de Jean-Marie Gleize propose une autre variation autour du motif central de ce livre : le réel en tant qu’image sans contenu.
carmelo bene in “caligola”, genova 1961
Carmelo Bene in Caligola
– mise en scène di Genova, 1961 –
Foto Agenzia Leoni.
Collezione Oriente-Piscolla.
click to enlarge
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gli uomini originari
al maxxi fino al 6 febbraio: “giacomelli | burri. fotografia e immaginario materico”
Alberto Burri e Mario Giacomelli al MAXXI di Roma fino al 6 febbraio – storia di una amicizia e un sodalizio artistico nati attorno al dialogo sul paesaggio.

“La terra non è più come una volta, il luogo dove l’uomo sperava e rideva. La terra come la vedo adesso è fatta di segni, di materia, come un quadro di Burri; un mio paesaggio di oggi è più vicino a un suo quadro che alla terra che fotografavo prima, perchè cerco il segno, le scritte, i volti come ho fatto negli altri lavori” (Mario Giacomelli)
“Non sembri azzardato leggere in parallelo le ricerche di Giacomelli sul paesaggio e alcuni cicli di Alberto Burri. A uno sguardo indifferente alle categorie e alle convenzioni della critica, apparirà infatti evidente … l’analoga attitudine a costruire l’immagine come sintesi, astratta riconfigurazione sulla superficie dell’opera di un’unità visiva generata dal medesimo sentimento della natura” (Marco Pierini)
Giacomelli | Burri. Fotografia e immaginario materico
a cura di Marco Pierini, Alessandro Sarteanesi – fino al 6 febbraio 2022 al MAXXI – Museo nazionale delle arti del XXI secolo
Catalogo Magonza editore www.magonzaeditore.it
“copy this!” – xerox et copy art de 1960 à nos jours
Sandro Ricaldone
COPY THIS !
Xerox et Copy art de 1960 à nos jours
Le Bal Books – Paris
24 – 28 novembre 2021
event: le-bal.fr/2021/11/copy
Dans un format inédit, la librairie du BAL — LE BAL Books — propose une immersion dans l’histoire, les usages politiques et les pratiques du Xerox et du Copy Art, à travers une exposition d’ouvrages historiques, une installation collaborative proposée par les artistes du projet « Copie Machine », des conférences, des rencontres ainsi que des workshops.
Depuis sa création dans les années 1960 par la société américaine du même nom, la photocopieuse Xerox a été utilisée par des générations d’artistes dans le développement de leurs pratiques. Dès le départ, cette technologie, accessible à tous, a rapidement été détournée par ceux-ci comme un nouveau médium artistique.
Depuis ces premiers moments, des œuvres majeures ont été créées avec ce médium jusqu’à devenir un genre à part entière : « l’art du Xerox » ou « Copy Art ». Du séminal Xerox Book (1968) ouvrage collectif de Lawrence Weiner, Carl Andre et Sol Lewitt, ou encore Joseph Kosuth, en passant par les expérimentations de Sigmar Polke, Daphne, Pati Hill Slave Days, Sarah Lucas ou Araki, Xeroxed Photobook series, les travaux produits ont marqué l’histoire de l’art dans des registres très variés, et continuent d’influencer la création contemporaine.








