as a pdf:
https://slowforward.files.wordpress.com/2024/01/johannes-s-h-bjerg_-10-paired-sentences.pdf
originally in Otoliths, Jan 2nd, 2021:
https://the-otolith.blogspot.com/2021/01/johannes-s-h-bjerg_2.html
another fragment:
https://gammm.org/2024/01/03/from-paired-sentences-johannes-s-h-bjerg/
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en.
The Arab word for “tomorrow” is “ghadan” or “bukra” (to refer to an event ‘in the future’): the bukra fb group aims at being a (maybe chaotic) archive of news and/or historical data, videos, interviews, documents, about Palestine. For the present and for tomorrow. The page is in English and/or Italian.
https://www.facebook.com/groups/bukra/
A place where you can post and share/repost all the (verified) news and infos about/from Palestine the fb content control system often bans or tries to push out of sight.
Pick up posts, videos, reels, images, pdfs, links from sites, online newspapers, Telegram and WhatsApp channels, Twitter/X, Mastodon, Discord, Instagram, Threads, Tumblr, FB, Reddit, Bluesky or any other (verified, valid) sources and share them here. Multiple or doubled posts are welcome.
.it
La parola araba per “domani” è “ghadan” o “bukra” (in riferimento a un tempo ‘nel futuro’): il gruppo fb bukra vuole essere un archivio (forse caotico) di notizie e/o dati storici, video, interviste, documenti, sulla Palestina. Per il presente e per il futuro. La pagina è in inglese e/o italiano.
https://www.facebook.com/groups/bukra/
Uno spazio dove è possibile pubblicare e condividere/ripubblicare tutte le notizie e le informazioni (verificate) sulla/dalla Palestina che il sistema di controllo dei contenuti di Facebook spesso banna o cerca di mettere fuori portata.
Raccogli post, video, reel, immagini, pdf, link da siti, giornali online, canali Telegram e WhatsApp, Twitter/X, Mastodon, Discord, Instagram, Threads, Tumblr, FB, Reddit, Bluesky o qualsiasi altra fonte (verificata, valida) e condividila qui. Post multipli o reduplicati sono benvenuti.
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Here is the first thematic “space” of KOKO – The Next Generation Journal, a Shared Campus publication.
Text/Image Parergon explores potentials and challenges in the relations of scriptorial and pictorial signs. How do text and image respectively frame an artefact? Does the combination of both constitute an extended value or merely a supplementary by-product that primarily appeals to the visual and other senses? Should such parerga be considered positively as added experiential benefit, or negatively as distractive embellishments of a core? Questions like these are explored in an initial set of academic “Conversations”, through the “Proceedings” of a dedicated conference and in image-with-text “Essays” by researchers working on and across the boundaries of scholarly research and creative production.
Visit Text/Image Parergon
Hosted on 16 May 2019 at the Kunstraum Kreuzlingen (CH) by the Zürich University of the Arts the symposium was set to explore the iconography of philosophical texts – in particular the imagery of Lady Philosophy as first introduced into philosophical tradition by the late antique writer Boethius (477–524) in his work The Consolation of Philosophy (approx. 524). The juxtaposition of medieval thinking, its articulation in illuminations, and in return their impact as challenge for contemporary creative practices, highlighted the need to investigate the mostly unquestioned principal opposition between immaterial thoughts and materialized images.
Space Editors: Peter Benz & Nils Röller
KOKO Editorial Statement
It is the ambition of KOKO to establish a lively and continuously evolving community of researchers contributing to respective topics; we therefore are always interested to receive feedback and/or potentially new contributions also to already existing “spaces”.
Where the more conventional formats have exhausted their possibilities, artists, designers and/or other creatives may use KOKO to create a metaphorical space for exchange through an externalised conversation between the researcher/creative practitioner and her subject.
Sandro Ricaldone
STEFFEN HAUG
Une collecte d’images
Walter Benjamin à la Bibliothèque nationale
University of Chicago Press, 2022
Entre 1927 et 1930 à Berlin, puis de 1934 à 1940 à Paris, Walter Benjamin travaille à accumuler des matériaux pour un projet de vaste envergure : retracer, à partir de l’étude des passages parisiens, une « préhistoire du XIXe siècle ». La rédaction du texte est sans cesse différée, tandis que l’immense corpus préparatoire semble voué à croître indéfiniment, devenant une somme composite de citations que double parfois, à la manière d’une note de régie, une réflexion ou une remarque énigmatique.
Au fil de ses recherches, Benjamin se rend à l’évidence : il faudra que son Livre des passages soit enrichi par des images. Une « documentation visuelle » se constitue bientôt, écrit-il, glanée pour l’essentiel dans les recueils du Cabinet des estampes de la Bibliothèque nationale où il travaille pendant son exil parisien. Une centaine de notes témoignent de cette collecte et conservent, enfermée dans leurs plis, la mention d’une ou de plusieurs images qui sont restées pour la plupart inconnues jusqu’ici.
Steffen Haug a voulu retrouver cette réserve enfouie. Gravures et dessins de presse, tracts, réclames, affiches et photographies, de Meryon et Grandville à Daumier, en passant par l’infinie cohorte anonyme et le tout-venant de la production visuelle à grand tirage du XIXe siècle : la moisson rapportée ici est surprenante. Elle invite à lire ou relire les Passages en faisant à l’image toute la place qu’elle occupe dans la pensée du dernier Benjamin, à l’heure où s’élaborent, sous la menace de temps assombris, son essai « L’œuvre d’art à l’époque de sa reproductibilité technique », le projet de livre sur Baudelaire ou ses « Thèses sur le concept d’histoire ».
VIZARMA
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Première Édition du festival de l’image eXPoètique à Perpignan, rue des cardeurs du 27 août au 11 septembre 2022.
Pour ce premier volet nous avons invité quelques ami(e) à créer, construire , deconstruire une ou plusieurs affiches, slogans, collages, poèmes ou tout autre formes experimentales d’images liées à leur environnement au format de leur choix.
Ces curiosités visuelles seront imprimées, collées et diffusées du 27 août au 11 septembre 2022 ₩ période de visa pour l’image..¥ sur les murs, devantures de commerce et autres endroits choisis rue des cardeurs à Perpignan.
Merci aux commerçants de nous permettre d’afficher sur leurs façades ainsi qu’aux participant(e)s qui ont répondu présent(e)s à l’appel.
Merci également aux dons de quelques copains pour nous aider à payer les impressions et qui pensent que la culture est hors champ des clichés consommables.
Ce projet est indépendant, gratuit et collectif.
Guillaume fosse / ZERO
Appel à textes | images
Call for submissions
Pour le prochain numéro d’un rectangle quelconque, vous pouvez nous envoyer vos textes en français, images, (3 pages A4 maximum svp), happenings, performances de l’écran, mots doux, poème visuel hard, bref, tout ce qui rentre dans trois pages A4 maximum.
Date butoir (et non deadline) :
dimanche 21 août à 23h57.
For the next issue of un rectangle quelconque you can send us, if you so wish, your texts in English, pictures, (3 A4 pages maximum please), happenings, screen performances, sweet words, harsh vispo poems, well, all that fits in three A4 pages maximum.
Deadline (not date butoir) :
Sunday 21st August at 11:57 p.m.
Adresse | address : revueunrectanglequelconque at gmail.com
Partagez à (p)loisir
Share at your (p)leasure
https://zoeme.net/jusqua-ce-que-lecran-se-vide/
Jusqu’à ce que l’écran se vide est un travail plastique réalisé par Jean-Marie Gleize à partir de cibles de tir et de polaroids. Cette publication fait suite à une exposition qui s’est tenue dans la galerie de Zoème en 2021, et qui avait pour titre Les cibles. À l’occasion de cette exposition, Jean-Marie Gleize est revenu sur la genèse de ce projet : « C’est ainsi que ça commence. Dans un jardin à Aix. Il tirait sur des cibles. Il avait cloué ces cibles sur la branche d’un arbre. Je l’ai regardé viser, tirer. C’était comme un spasme nerveux, involontaire, une décharge sans raison, contre rien. J’ai ramassé ce qui restait, des traces au sol comme des feuilles tachées, trouées. Je les ai déchirées, les ai maculées d’encre rouge, et puis je les ai perdues. C’était au tout début des années 90. Et vers la même époque, aux États-Unis, en Californie et dans le Vermont, j’ai pratiqué intensément (de façon quasi pulsionnelle) la captation mécanique du réel, minimale, brutale, d’un réel simplement là : image sans contenu (comme les cibles), sans négatif, instantané unique sans copie ni retouche possibles, celle du Polaroïd. » Jusqu’à ce que l’écran se vide se compose de 30 polaroids, reproduites à l’échelle 1:1, et la reproduction de 14 cibles. Au centre, un poème inédit de Jean-Marie Gleize propose une autre variation autour du motif central de ce livre : le réel en tant qu’image sans contenu.
differx and differxhost [see here and here] host the books 01-… of “Six Months Aint No Sentence”: works by Jim Leftwich [+ a file by John M. Bennett, re-working on J.L.’s texts]
All the pdf files are freely downloadable here.
(CC) Jim Leftwich, 2011-14…
acknowledgements:
https://app.box.com/s/c69x6jdywooxv9latfiw
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Issue 15 of “Tip of the Knife” is out. Contributors include Mark Young, Amanda Earl, Bobbie Lurie, Alexander Limarev, Guy R. Beining, bruno neiva, and Bill DiMichele.
http://tipoftheknife.blogspot.com/2014/01/tip-of-knife-issue-15.html
