INSISTO, anche sulla scorta del continuo #shadowbanning / #censura che i social generalisti operano nei confronti delle notizie dal medio oriente e ovviamente dalla #Palestina: è pressoché indispensabile e sicuramente URGENTE costituire e ampliare #comunità online e #retisociali altrove, direi soprattutto su #Mastodon e #Telegram, che al momento sembrano raccogliere il maggioor numero di #partecipanti (basta con ‘sti **zzo di “utenti“, non siamo #utenti manco per il ****o).
di sicuro, se volete, trovate me (e molti altri) qui:
https://mastodon.uno/@differx
o qui: https://bsky.app/profile/differx.bsky.social
o ancora qui: https://t.me/slowforward
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non è impossibile creare situazioni collettive di condivisione di informazioni politiche, aggiornamenti, ricostruzioni storiche, materiali sperimentali, #scritturadiricerca, testi inclassificabili, oggetti letterari (o visivi, o musicali) non identificati, #artedeviante / #deviantart, verbo-visual stuff, #glitch, scritture asemiche / #asemicwriting — eccetera.
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Denis Roche, lors de la sortie du volume La poésie est inadmissible, au Seuil, déclarait ceci à Arnaud Viviant dans Libé : «Et j’ai toujours trouvé saugrenu qu’on ne dise pas d’un poète que c’est un écrivain. Au fond, c’est très étrange. Si vous écrivez un seul roman dans votre vie, nul ne songe à vous appeler romancier. Mais faites un livre de poésie, et toute votre vie on dira: le poète.C’est une des choses que je trouve débilitante dans ce qu’est devenue la poésie, depuis le romantisme probablement. Une espèce de label, relevant très nettement du statut social, et qui vous est octroyé sur un mode toujours sublimé, augmentatif. Pourquoi un exposant aussi valorisateur est-il attaché à cette pratique littéraire? Lorsque vous voyez des hommes politiques en campagne qui, sous prétexte qu’ils sont consultés dans une émission littéraire, prennent des airs ravis, les yeux à demi-clos, pour parler de poésie, on est encore dans ce statut-là. Oui, à cet exercice-là est attaché quelque chose qui est de l’ordre de la décoration sociale. Qu’elle soit devenue cela est une des choses qui me font dire que la poésie est inadmissible.»
il ne s’agit pas tellement de dire, au sens d’« avoir dit », il s’agit de dire au sens intransitif du « dire », c’est-à-dire de parler dans le moment présent, et de montrer comment les choses se font dans le moment même, de créer la communication directe, non par la récitation d’un produit fini, mais par l’exemple d’une opération en acte, d’une parole (et donc d’une pensée) à l’état naissant
Francis Ponge (Entretiens Ponge/Sollers)
l’atto, non l’agìto. il dire, non il detto. aion, non chronos. il soggetto dell’inconscio, non l’io, direbbe CB
I Romani, questi nazisti dell’antichità, hanno portato via (gli obelischi più belli sono a Roma), scalpellato, distrutto: e l’Egitto dei Faraoni è finito
NO MORE POETRY THAT LOOKS LIKE POETRY, THAT ACTS LIKE POETRY, THAT IS INSTANTLY RECOGNIZABLE AS POETRY; I BELIEVE THAT POETS SHOULD LIKE TO WRITE IN A WAY WHICH DOESN’T RESEMBLE WHAT HAS GONE BEFORE, THEY SHOULD BE ABSOLUTELY CONTEMPORARY IN FORM AND CONTENT.
